Descartes Underwriting muscle encore son jeu

Anticiper pour mieux s’en relever : les petites et moyennes entreprises (PME) et entreprises de taille intermédiaire (ETI) vont pouvoir bénéficier de la nouvelle offre d’assurance centrée sur la cybersécurité lancée par Descartes Underwriting.

Grâce à la Future Licorne dirigée par Tanguy Touffut, ces entreprises pourront s’assurer contre des risques cybers qu’elles sont de moins en moins susceptibles de prévoir. L’incertitude a toujours fait partie du « jeu » d’entreprendre mais il y a aujourd’hui comme une impression d’extrême vulnérabilité face à des phénomènes qui semble nous échapper de plus en plus. Le cyber en fait partie, au même titre que les aléas climatiques.

Même la meilleure boule de cristal n’aurait pu prédire avec exactitude les grands bouleversements géopolitiques, économiques, technologiques, énergétiques, des dernières années, et encore moins l’occurrence de tel ou tel aléa climatique ou cyberattaque. « Qui aurait pu prévoir une telle diffusion en masse de l’intelligence artificielle générative ? », pourrait-on dire, alors que celle-ci peut aussi aider plus de cyberattaquants à arriver à leurs fins.

Avec son offre paramétrique centrée sur les spécificités de l’entreprise, Descartes Underwriting vient prêter main forte aux PME et ETI dont l’importance dans le tissu économique, notamment en France, est forte : savoir-faire prouvés, maillons indispensables des chaînes de valeur des grandes entreprises, importance dans le tissu socioéconomique local… C’est toute la puissance de l’assurance paramétrique qui va répondre aux spécificités de chacune de ces entreprises pour les assurer contre les risques cybers, mais aussi climatiques comme le propose Descartes Underwriting depuis plusieurs années.

La Future Licorne, lauréate du Trophée dans la catégorie E-commerce et E-services poursuit donc sa croissance en 2024 après une année 2023 marquée par l’internationalisation et l’ouverture d’un bureau au Japon, le quatrième bureau asiatique de l’entreprise. Impossible n’est décidément pas français.