Qui tient l’énergie tient l’IA

Le Congrès mondial de l’intelligence artificielle et de l’énergie se déroule les 4 et 5 décembre. Organisé par l’Agence internationale de l’énergie, cet événement va interroger l’ère de l’IA qui est aussi celle de la dépendance énergétique. D’après des données collectées par Electric Power Research Institute aux Etats-Unis, les centres de données pourraient consommer jusqu’à 9% de l’électricité américaine d’ici 2030 contre 4% aujourd’hui.

Ces quantités vertigineuses d’électricité englouties par les infrastructures derrière les usages de l’IA interrogent à plus d’un titre : l’entreprise tech par excellence sera-t-elle également celle qui aura développé ses infrastructures énergétiques ? Qui sera le leader énergétique et de l’IA ? À quel prix ? Les particuliers limiteront-ils leur consommation d’énergie alors que les géants du numérique cherchent à augmenter sans fin leur capacité énergétique ?

Pour les entreprises comme les États, cette ruée vers l’énergie a donc de sérieuses implications, en particulier avec des fluctuations géopolitiques et environnementales qui peuvent perturber l’approvisionnement énergétique. Parmi les solutions, le développement de réacteurs nucléaires modulaires ou les investissements dans les énergies renouvelables offrent des perspectives prometteuses… mais n’oublions pas le potentiel de l’optimisation de la consommation énergétique, et c’est là qu’une entreprise comme la Future Licorne Kayrros change la donne et prouve qu’impossible n’est pas français.

Kayrros utilise l’IA et les données satellitaires pour collecter et analyser les émissions carbone en temps réel à l’échelle mondiale. Son objectif : proposer des solutions pour les acteurs notamment dans l’énergie. Grâce à des technologies de pointe comme l’imagerie satellite, la télédétection et le traitement avancé des données, Kayrros aide à être plus efficace, sans déperdition d’énergie au sens propre comme au sens figuré, pour une meilleure prise de décision.