Daniel Nathan dirige la Future Licorne Homa, récompensée par notre jury en septembre dernier dans la catégorie E-Services. Au micro de Caisse d’Epargne, partenaire des Trophées des Futures Licornes, il a confirmé qu’il n’est pas là pour jouer mais bien pour construire un champion économique qui fait jouer les autres et libère leur créativité.
Fondée en 2018, Homa réunit aujourd’hui 250 personnes qui créent des technologies permettant à des développeurs de créer des jeux mobiles et les aident à distribuer ces mêmes jeux.
Alors quel est le cheat code de Homa Games ? Comme pour les autres Futures Licornes, la recette est connue : une gouvernance robuste avec un cap stratégique clair tourné vers la diversification du portefeuille de jeux en lien avec les tendances de marché, l’innovation technologique, et une attention portée aux acquisitions.
Dans un secteur français du jeu vidéo qui connaît certaines difficultés comme l’ont récemment illustré Ubisoft et les débats autour de la Paris Games Week, la force tranquille de Homa est de cibler un public et de donner aux développeurs les moyens de libérer leur potentiel créatif. Chaque jeu étant une histoire, a minima une suite de missions et une somme d’infinis détails, permettre au plus grand nombre de pouvoir les développer et y jouer est une prouesse. Car s’il n’y a jamais eu autant de jeu vidéo dans l’Histoire, il ne faut pas non plus négliger la demande pour des jeux plus originaux, créatifs et singuliers. Homa y répond. Impossible n’est pas français.